Les MARBOUSSET au cœur d’Officiers Perdus
Une mini-saga familiale dans la méga saga des Apalats !
Mon père Bertrand m’a souvent raconté sa traversée en barque dans le détroit de la Mer du Nord,… à l’insu de nos grands-parents !
Nos repas familiaux, longs comme souvent dans le Nord, ont maintes fois fait l’éloge des Américains de la 101th Airborne qui ont sauté les 1ers sur Ste Mère l’Église, et parmi eux, mon père et Peyo son nouvel ami basque... étant donc eux-mêmes les 1ers français à sauter lors du débarquement. Et pourquoi ? La raison en était simple mais pleine de conséquences pour leur carrière : ils savaient parler anglais et ont été sélectionnés par le colonel Fitzgerald pour servir d’interprètes. Jamais ils n’avaient sauté et encore moins fait la guerre !
Quel français, quel américain, quel patriote n’a pas en tête le fameux para John Steele, qui atterrit au-dessus de la place du village dans la nuit du 5 au 6 juin 1944, accroché sur le clocher de l’église de cette ville normande !
Eh bien eux, en plus, c’est la 17ème SS Panzer Grenadier et leurs redoutables chars IV Tigre qu’ils ont en tête pour les avoir eus en face d’eux pendant des heures, des jours et des nuits. Et bien sûr, eux sont capables aussi de raconter l’histoire vraie de la petite orpheline Stéphanie au milieu du champs de bataille à Carentan, sauvée par le Bagpiper John de la célèbre Black Watch, sans un coup de fusil ou de mitraillette, juste le son de sa cornemuse qui résonnait dans tous les esprits, et grâce à St Michel, dans tous les corps des hommes, américains, écossais et… allemands. Devant sa monumentale cheminée à Ossès dans la bâtisse familiale du XIIème siècle où les Apalats résident depuis, Pampi en pleure encore aujourd’hui à chaque fois qu’on évoque cette histoire qu’a vécue son père Peyo, !
Vous retrouverez ces épisodes dans le tome 2 des romans de Gilles Hustaix. Romans certes mais tout, du début à la fin de la saga, sur des bases véridiques.
Depuis septembre dernier, le tome 3 « L’Heure de la Relève 1/2 » et le tome 4 « L’Heure de la Relève 2/2 » sont édités. Mon père atteint de diabète juste après la guerre 39-45 n’a pas pu comme Peyo suivre une carrière militaire et faire partie des Officiers devenus… Perdus en 1962 ; il n’y est donc plus présent. Mais à l’Aéroport de Metz, 35 ans après en 1979, est-ce un hasard (ou plutôt para un jour, para toujours, de père en fils), moi Engy fils de Bertrand Marbousset, me voilà dans le tome 3 sous les ordres du lieutenant Pampi, fils de Peyo Etchegaray, du 13ème Hussard Pärachutiste. À l’époque, on faisait encore son service militaire ! Et ayant dû arrêter mes études, je n’étais que 2nde classe. Empathique qu’il est, Pampi Etchegaray, mon Lieutenant, nous appelait tous ses Johnny car l’usage du prénom était interdit pour les soldats. Et bien vers la fin de mon temps de service dû à la nation, j’étais là encore à Morhange quand Pampi nous a appelé sous ses ordres pour le Tchad. J’ai dit immédiatement GO sans hésiter, comme tous ceux de son peloton, et même le curé. Notre soldat et ami Johnny (Xavier) Grenier y est mort, histoire tragique,encore ; nous, nous sommes partis après dans le business. Sautons-y ! C’est le sujet principal du tome 4, même si Pampi relate son expérience dans Tsahal pour aller libérer au Liban, notre soldat et ami David Benayoun, alias Johnny Benayoun.
Après le service, j’ai pu reprendre mes études dans la jeune Université de Technologie de Compiègne, elle-même créée par un Officier de marine, Guy Deniélou. Il avait participé au débarquement également, mais à Dunkerque. Il était en Indochine aussi, au débarquement d’Hài Phòng. Mais il avait terminé sa carrière militaire en 1957 ; il ne sera pas à Alger parmi les Officiers Perdus…
De tradition familiale, voire Nordiste, plutôt commerciale, un passage via l’ESSEC s’imposait. Là, pas l’Armée, mais les Jésuites et les valeurs morales de l’Église. Plutôt élitistes, mais toujours dans le but de former des dirigeants imprégnés des valeurs chrétiennes et humaines. Un quart de ses diplômés y deviennent entrepreneurs, je suis de ceux-là en ayant créé TAORMINE.
TAORMINE… non loin de SYRACUSE… Après Édith Piaf avec son « Non rien de rien, non je ne regrette rien », Michel Sardou avec « Le France », Franck SINATRA avec « New York, New York », entre autres mélodies tout au long des 4 romans de la saga Officiers Perdus, on aurait pu ajouter « J’aimerais tant voir Syracuse… » d’Henri Salvador. La chute de cette chanson aurait pu servir pour la fin professionnelle « tragique » de Pampi Etchegaray d’Apalats, « Avant que ma jeunesse s'use, Et que mes printemps soient partis… », la Roche Tarpéienne est vraiment proche du capitole, à 44 ans seulement !
Je suis ravi d’avoir suggéré à Pampi le séminaire dégustation au Ritz, avec sa baseline qui aura fait son succès, tant à WP FRANCE qu’à son jeune président de 33 ans, Pampi, mon Lieutenant : « WorldPub France est à la publicité ce que les grands crus bordelais sont au vin » !
Heureusement que ma sœur Aliénor, très énergique avocate, a pu l’aider à négocier au mieux son départ. « La défense de l’opprimé », sa propre baseline ! Où celle-ci la mènera-t-elle ?
Amitié, Fraternité, Armée, Business, Droit, je pourrais ajouter, Mort, Mariage, Joie, Peine, Amour… les romans de Gilles HUSTAIX sont le reflet de la Vie, de génération en génération.
Engy MARBOUSSET, en mémoire à son père et pour sa sœur,
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