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Livre Blanc autour de la saga Officiers Perdus 

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Officiers Perdus : L‘Honneur des Officiers Français !

Les deux premiers lus en très peu de temps, j’ai adoré les combats en Indochine pourtant j’en ai lu pas mal, mais l’histoire était particulièrement passionnante, avec l’enchaînement sur la guerre d’Algérie et, en prime, les réactions de certains officiers français lors du putsch. On comprend mieux le pourquoi de ces comportements lorsqu’ on a été, soi-même, un officier. Ce livre m’a fait me poser des questions, à savoir comment j’aurais pu réagir à cette époque, si j’avais été à leur place et si j’étais passé par où ils sont passés. Deux supers livres avec un contenu bien captivant.

Les deux suivants sont une suite avec les enfants des premiers officiers qui vont eux aussi devenir officiers dans les mêmes régiments parachutistes de leurs pères et là on touche à la fibre paternelle espérant voir leurs fils prendre leur relève Les descriptions sont très bien faites et sont très faciles à lire. 

Ces quatre livres sont extrêmement agréable à lire et pour moi il te reste un cinquième pour savoir comment Pampi va rebondir après le lacet presque mortel qu’il a subi. Voilà une belle saga sur deux familles d’officiers français d’une longue lignée de militaires au service de la France.

 Cela devient rare de nos jours de vanter l’honneur d’officiers français et pourtant cela existe encore et il convient d’en être fier. Merci aux Officiers Perdus d’hier, d’aujourd’hui ou de demain !

Des Commandos Paras aux Services Secrets ! Officiers Perdus T3 L’Heure de la Relève

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Lecteur de la première heure et de la Trilogie Officiers Perdus en 4 tomes, voilà ce que je vous confiais après lecture des deux premiers :

 

« Officiers Perdus : Deux livres aux personnages héroïques, tonitruants, mais jamais désespérés de Dien Bien Phu aux djebels d’Algérie, puis en Patagonie, avec des pages de souffrance et de gloire.   

Documents uniques sur la folie mais surtout la grandeur des Hommes qui traduisent la passion de l'auteur et confirme qu'il est désormais un des Maîtres du récit de guerre. »

 

Aujourd’hui, jour important, je viens de terminer les deux tomes de l’opus III d’Officiers Perdus L’Heure de la Relève.

 

Dès la page 5 du Prologue, il este réservé à des lecteurs qui ont un peu de culture, un public averti, Proust, le Dadaïsme, le Cadre Noir... D'ores et déjà, on se prononce : « un récit sans faille soutenue par une Histoire qui sécrète sa propre légende. Un chef d’œuvre authentique de littérature de guerre issu de la maîtrise de l’écrivain, couplé à une culture et une imagination remarquable, mais également une oeuvre majeure aux différentes sources liées à notre époque ».

 

Le premier tome se terminait par la très emblématique chanson d'Edith Piaf... « Non rien de rien, non je ne regrette rien »... Le dernier... idem ! « Ourobouros » symbole alchimique, le serpent qui se mord la queue, la boucle est bouclée.

 

« J'ai choisi le métier de servir le feu et le fer,

J'ai cru à la gloire, aux richesses, aux honneurs,

J'ai cru en tout cela sans en voir les horreurs. »

 

LT Colonel Antoine Mattéi (3ème REI)

J'ai toujours ressenti, à chaque page de la saga, la présence de ceux qui ont refusé de rompre le serment de fidélité et qui ont sacrifié volontairement une carrière fulgurante.

 

Lors de ses adieux solennels aux Cadets de West Point, le Général Douglas Mac Arthur a déclaré : « The old soldiers never die, they just fade away ». (Les grands soldats ne meurent jamais, ils ne font que s’effacer.)

 

J'ai retrouvé nos jeunes et fringants officiers, d'une trempe exceptionnelle, dont le courage, l'obstination et le rayonnement leur auraient valu en d'autres temps le titre de Général ou le bâton de Maréchal d'Empire.

 

Je les ai accompagnés en Israël, Afghanistan et bien plus encore, puis j'ai changé de monde pour plonger dans la jungle mortifère du Business.

 

Ces diplômés des très hautes écoles d'ingénieurs vont s'engager, s'essayer et réussir parmi les plus grandes entreprises multinationales nécrophages et énergivores, ces « Young Leaders » ne savaient pas qu’on leur fournissait également la corde pour se pendre !

 

Être trempé dans l'acier et souple comme le cuir pour Être et Durer, savoir mourir en étant rasé de frais, c'était un autre monde.

 

En quelque sorte, le témoignage du conteur, Gilles Hustaix, boucle un certain cycle de l'absurde.

 

Il y a de quoi faire plusieurs « Ponts de la Rivière Kwaï » avec ce quadriptyque.

 

Officiers Perdus, une lecture passionnante que je recommande à tous ceux qui aiment la France !

 

Colonel Clandestin

Saga Officiers Perdus : Un hussard de Bercheny témoigne

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Saga Officiers Perdus : Un hussard de Bercheny témoigne

Quelle belle épopée romanesque écrite avec justesse, humour et sensibilité !  Elle est riche car nourrie d’une vie familiale et personnelle. Les personnages sont attachants car leur description respire le vécu et la sincérité. 

Aristocrate ou paysan, harki ou eurasienne, tous se retrouvent dans des valeurs qui les dépassent. Celles de la France éternelle qui s’est construite sous la Royauté, l’Empire ou la République ; celles que nous voyons disparaître sous nos yeux actuellement. 

Au-delà de ces valeurs qui nous transcendent pointe toute la richesse de la vie de ces personnages qui partagent le goût du beau, le sens de la fête, le courage et l’audace, la volonté et la résilience, et surtout le panache ! 

Ils nous font vibrer car revivre toute notre jeunesse, les longues discussions et toutes ces lectures partagées avec les témoins de l’époque : Chateau-Jobert, Argoud, Hélie de Saint Marc, Bastien-Thiry, Raspail, …

T1 La chute de l’Empire : Pierre et clef de voûte de la saga avec ces officiers engagés corps et âme dans la guerre en Indochine puis en Algérie mais trahis par le pouvoir politique. Le point d’orgue est le suicide du général Serge de Roche Croix.

T2 Rebond en Patagonie : changement de décor car nous voilà avec Jean Raspail. C’est une respiration qui redonne espoir et qui montre la force de la vie. Il ne s’agit plus de regarder dans le rétroviseur mais rebondir pour faire du grand, du beau et du vrai ! Les cicatrices que sont Ste Mère l’Eglise et la marche pour le camp n°1 seront soignées par la Patagonie, ses grands espaces, ses chevaux. Tout respire la vie et la fête. L’orphelinat ? Se mettre au service des plus faibles. Le haras de criollos ? La réussite de ces exilés, une belle note d’espoir. 

T3 L’heure de la relève 1 : Quel pari audacieux de chercher à comparer le monde militaire et celui des affaires ! Par essence les deux mondes sont aux antipodes. La réussite de Pampi dans les affaires ou à la tête de son peloton au Tchad le démontre bien. C’est aussi la raison pour laquelle l’exercice est difficile. C’est un roman et l’ensemble est fort bien équilibré. Le pari est gagné !

T4 L’heure de la relève 2 : La romance en Terre Sainte est bien du roman, L’action est audacieuse et décrite avec beaucoup de réalisme. Bravo ! Au passage la mort du lieutenant Azoulay rappelle jusqu’où peut conduire le mauvais management des hommes. Pampi semble plus à l’aise dans le monde militaire que dans les affaires. Est-il plus aisé d’avancer dans l’armée ? Le lacet à étrangler, la mort sociale et la roche tarpéienne y existent aussi. La description romanesque des difficultés est d’autant plus excellement racontée qu’elle été vécue.

Col (er) Christian Berg ; un ancien de Bercheny, Cavalerie !

Témoignage mis en ligne le 14/02/203

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Témoignage de Philippe Bouvet, critique littéraire

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Le tome II d'officiers perdus est très différent du tome I. Ainsi nous passons d'un livre sur l'histoire de l'armée française en Indochine et en Algérie à un livre plus " glamour" plus féminin à la Françoise Bourdin mais aussi à Jean Raspail (dans le livre " les yeux d’Irène »)

Le roman se déroule majoritairement en Patagonie car les deux héros du premier tome ont dû fuir de la France en passant par l'Espagne (on peut rappeler que l'Espagne de Franco a reçu avec enthousiasme les pieds noirs d'origine espagnole en 1962) puis l'Argentine.

 

Le récit offre une remarquable description presque touristique de la Patagonie et de la culture argentine avec le polo et les barbecues comme les aime Sandrine Rousseau.

Il y aussi un côté romantique avec les amours des deux héros et leurs très belles femmes. Il est tout de même décevant de constater qu'elles ne veulent ou ne peuvent pas avoir d'enfants. Je n'aime pas beaucoup l'adoption (César en sait quelque chose) surtout quand on enlève l'enfant à son peuple. Mais là les enfants restent sur leurs terres. De plus ces deux jeunes femmes créent un orphelinat avec l'aide d'un cardinal et d'un prêtre basque.

Pour les hommes, il y a une belle évocation des parachutistes français sautant sur Sainte Mère l'Eglise en 1944 au moment du débarquement et les conditions terribles du Camp n° 1 en Indochine. Les rescapés n'accepteront pas la trahison de de Gaulle en Algérie et choisiront la rébellion.

A la fin nous assistons à une belle action commando contre des narco trafiquants.

Ce livre plaira beaucoup aux femmes et sûrement aussi aux hommes.

On peut l'acheter chez les libraires en particulier à Bayonne, sur internet, Amazon ou directement auprès de l'auteur Gilles Hustaix sur Face Book, etc ....

Philippe Bouvet, Critique Littéraire

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Troisième livre de Gilles Hustaix. Après le premier livre historique et militaire, le deuxième sur la vie après le putsch d'Alger à la fois féminin et policier, ce troisième livre semble autobiographique. Pampi (son surnom ? va reprendre le flambeau et s'engager comme officier dans la cavalerie parachutiste. Un épisode inconnu pour moi, la fausse alerte de Metz en 1979 où la France faillit intervenir à l'Est contre le communisme. L'ambiance chez les paras est bien décrite. On retrouve un peu plus loin dans le livre différentes opérations en Lybie et au Tchad avec des conflits ethniques à Kalait et Ouadi Koseley avec la mort en face. Des moments héroïques de la vie de Pampi.

Ce roman montre un auteur attaché à sa terre natale, le Pays Basque, l’histoire d'une famille, d'un père militaire (dont la carrière est brisée en 1962 comme le père d'un ami d'enfance Antoine de Roquefeuil et d'autres) et d'une mère protectrice et très aimée.

Son entrée dans le monde du marketing me rappelle ma carrière à la Roussel-Uclaf , HMR , Aventis puis Sanofi. C'est bien présenté mais il manque la guerre interne, du moins pour le moment.

Peut-être trop de dialogues et pas assez de descriptions. Il aurait fallu quelques photos avec la propriété familiale, la famille ou le mariage.

On a parfois l'impression d'être dans un monde heureux et déconnecté. Tant mieux mais la vie en famille ou en entreprise n'est pas un long fleuve tranquille.

Il est vrai que l'on en a marre de lire des auteurs malheureux, vindicatifs ou intolérants.

Ce livre prouve que le bonheur n'est pas dans un camp politique.

A lire…

Témoignage mis en ligne le 05/12/2023

Témoignage de Jean Pierre Delmond,
Capitaine ex  8° R.P.I.Ma

Cher Camarade !

 

Lorsque j'ai vu vos romans à Caylus lors du congrès de l’UNP, j'ai sauté dessus ! 
J'ai tout lu d'une traite. J'ai adoré le fait de voir revivre tous ces héros inoubliables, incarnés par des copies conformes de Bigeard, Chateau-Jobert, Sergent et tous les autres.
J'ai revécu ces années d'angoisse pour nos soldats, angoissantes mais intenses. J'ai vibré aux exploits de tous ces purs chevaliers du XX° siècle.

J'ai haï De Gaulle, ce faux grand homme qui comme vous le dites, exécutait nos soldats, mais laissait le FLN égorger des dizaines de milliers de harkis ou de pieds noirs qui n'avaient pu franchir la Méditerranée ... La carrière du Grand Traitre peut se résumer au titre de l'ouvrage d'Antoine Argoud : "La Décadence, l'Imposture, et la Tragédie".

Je suis d'accord aussi avec vous sur le Putsch : Quand on fait un coup d'état, on va jusqu'au bout. Faire un putsch en annonçant d'avance qu'on ne tirera pas était une ahurissante connerie ! Il fallait sauter sur Paris, mobiliser la population algérienne, etc…

Bien sûr, on ne refait pas l'Histoire. Mais que d'occasions manquées et de regrets !
J'espère que vos romans se vendent bien, ils le méritent.

Aujourd'hui encore, il me reste une terrible nostalgie au cœur, une plaie qui ne se guérit pas ...

Que Dieu vous garde, et qu'il protège la France, bien qu'elle ne le mérite plus.

Bien Paramicalement

Jean-Pierre Delmond
Capitaine ex  8° R.P.I.Ma

Mise en ligne le 30/06/2023

Par Daniel Pollett, Ecrivain ”Citoyens, ce roman est le vôtre”

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Officiers perdus*, de Gilles Hustaix : un remarquable ouvrage en trois tomes dans quatre volumes, nous fait revivre l'épopée de héros du XXe siècle, ceux qui combattirent en Indochine, en Algérie, à Suez et se tinrent prêts à réagir face à l'ennemi d'alors, l'Union soviétique, tout au bord de l'affrontement tant redouté. L'un d'eux fit même des incursions très confidentielles en Israël. Franchissant le seuil des siècles, ils partirent en OPEX en Afrique pour lutter contre l'ennemi de toujours des nations civilisées, l'islamisme. J'ai déjà exprimé mon avis sur ce vocable**.

 

J'avais présenté la première partie de cet ouvrage dans un article précédent*** et je n'ai bien sûr pas pu en terminer là avec la lecture des vies de ces hommes et de ces femmes remarquables. En fait ce sont de vrais héros, tels que nous avions appris à les connaître, les aimer et les admirer autrefois, lorsque notre belle histoire de France nous était enseignée par ces merveilleux professeurs que nous avions alors, cultivés, compétents et strictement neutres dans leur façon de professer. Assurons-leur notre gratitude éternelle. Ces héros de Gilles Hustaix sont pour certains de vrais personnages dont il a seulement changé le nom et romancé l'histoire. Ainsi en est-il de son propre père qui fut l'un de ces officiers perdus qui, tel le commandant Hélie Denoix de Saint-Marc, refusèrent d'abandonner à la barbarie du FLN les populations civiles pied-noir et les harkis ayant tant servi la France, qui refusèrent aussi que l'armée française ayant gagné la bataille d'Alger, leurs camarades soient morts pour rien. Ces officiers furent perdus pour la France, pour son armée, et ils nous manquent aujourd'hui. Si nous les avions gardés avec reconnaissance, ils auraient insufflé leur ardeur chevaleresque à leurs successeurs, l'armée française serait restée telle qu'elle fut si longtemps. Mais l'Histoire n'est pas à refaire...

 

Ces héros ont en commun d'être les héritiers de familles anciennes qui ont offert à la France de nombreux combattants, sous tous les régimes car ils servent la Patrie avant tout. Tous savent très bien s'ils sont des hommes ou des femmes et vivent pleinement selon ce que la nature leur a attribué sans se pose de questions à ce sujet. Ainsi sont-ils des êtres accomplis et se plaisent-ils dans l'excellence de servir. La loyauté, la camaraderie, le courage et l'abnégation sont leurs guides. Frère d'armes un jour, frères d'armes toujours. Plusieurs de ces héros partent sur des terres lointaines où l'exil ne les décourage pas de rester eux-mêmes et de prospérer malgré l'épreuve. On retrouve certains d'entre-eux dans la vie civile, dans les affaires où d'autres critères sont exigés, de droit ou de fait, pour être admis et persévérer. Même s'ils s'en sortent avec brio, ils ne sont plus dans la fraternité des armes ni non plus à l'abri de coups bas aussi inattendus que cruels. Ils restent tous des gens droits et honnêtes, respectueux de leur parole. Beaucoup d'entre-eux sont des Basques, comme l'auteur, aussi lit-on entre les lignes l'amour de la petite Patrie égalant celui de la grande Patrie. Ils sont d'authentiques Français aimant la gastronomie, les vins de nos terroirs, les traditions, l'humour. Ils agissent avec intelligence et délicatesse. Ils sont tout ce que détestent les médiocres et les clientélistes de la gauche surfaite. Ils sont les héros savoureux et admirables de la France millénaire, et appellent ceux d'aujourd'hui à se dresser pour anéantir cette parenthèse désastreuse des décennies dégénérées qu'il faudra bien faire cesser. Ils sont des héros traditionnels, vertueux et loyaux dont nous attendons avec impatience la levée des héritiers parmi ceux qui ont l'honneur, aujourd'hui, de porter l'uniforme de l'armée française.

 

Gilles Hustaix a entrepris de laver l'honneur de son père qui, pour avoir voulu rester digne, a été injustement maltraité par un pouvoir indigne. Il a fait bien plus que laver cet honneur : comme on efface un casier judiciaire injustement entaché, il l'a restitué de plein droit devant l'Histoire.

Mise en ligne le 27/03/2024

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