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Photo du rédacteurRachel Caron

Officiers Perdus De A à Z




Mon projet littéraire était double :


Laver l’honneur de mon père après le drame algérien,

Comparer le monde des affaires au monde de la guerre.

Mais l’histoire de mon père ne se réduit pas à lac guerre car il a connu lui aussi, le monde des affaires.

Pour ce qui me concerne, je suis allé à Saumur, l’École d’Officiers de la Cavalerie, puis au 13ème Dragons Parachutistes mais j’ai passé le plus clair de mon temps dans le monde des affaires d’où m’est venu l’idée de comparer les deux !

Évoquant mon projet littéraire avec Désir d’Ecrire, ils m’assurent que c’est très intéressant mais impubliable pour un premier roman car de l’ordre de 900 pages ! C’est face à ce constat que l‘idée d’une trilogie va naître ! D’autant plus que l’aspect Débarquement en Normandie et Camp Viet N°1 jugés beaucoup trop longs pour être inclus dans le Tome 1 en seront donc exclus ! Rien que le camp Viet N°1 aurait fait dépasser le cap des 300 pages jugés comme un maximum ! De nombreux lecteurs me le reprocheront en assurant, avec justesse, que le Camp N°1 aurait dû être situé entre Dien Bien Phu et l’Algérie. Bien sûr ! Que ces lecteurs se rassurent le Camp Viet N°1, comme le Débarquement en Normandie sont présents dans le Tome 2 sous la forme de flashbacks ou retours en arrière ! Deux tomes donc pour clore cette période et un pour couvrir la suite : 2+1=3 = Trilogie !


Officiers Perdus T2 Rebond en Patagonie Chapitre 5 Ste Mère l’Eglise


Peyo devait sauter dans les derniers du premier avion avec le colonel Fitzgerald qui lui devait y aller le dernier en compagnie de son radio. Ils n’eurent pas à patienter longtemps, peut-être une demi-heure quand la lumière passa du rouge au vert, ils entendirent :

— Stand up ! Hook up !

Et la fameuse sirène Hin Hin Hin Hin Hin si stridente qu’elle vous donnait envie de sauter au plus vite, rien que pour ne plus l’entendre, et le largage commençait, chaque para annonçant le numéro du para précédent quand il avait sauté.

Peyo était en douzième position, cela alla très vite et il entendit :

— N° 10 OK !

— GO !

Il dit :

— N° 11 OK !

— GO !

C’était son tour : il sauta ! Une sensation de remonter vers l’avion, une grande impression de silence et il était temps de regarder autour de lui. Il vit immédiatement que cela n’allait pas bien : trop de vent, son parachute était très agité, et les autres trop dispersés loin les uns des autres. Comme on le leur avait expliqué, c’était le contraire d’un largage réussi, un vrai largage à problème où la première difficulté serait de retrouver les copains ! Mais cela ne dura pas longtemps ! Au lieu de voir le sol, il voyait une ligne haute tension et il arrivait droit dessus ! Il essaya en jouant sur les suspentes de l’éviter mais, rien à faire, un fort vent le poussait droit dessus et son parachute vint se suspendre sur les lignes, et il eut la peur de sa vie, celle de mourir électrocuté, carbonisé. Mais rien de cela ne se passa. Il réalisa qu’il était en train de faire de la balançoire allant dans un sens puis dans l’autre autour de la ligne haute tension puis tout lâcha et il tomba sur le sol, l’épaule en avant mais c’était beaucoup plus dur, plus rigide que d’habitude, il se releva et se rendit compte qu’il n’était pas dans un champ mais dans la cour d’une ferme.


Un chien effrayé s’enfuit en couinant et une femme tout autant apeurée ferma précipitamment une fenêtre alors que Peyo, le pistolet mitrailleur Thompson au poing, hurlait aux habitants :

— N’ayez pas peur, Armée française, euh, non Armée américaine !

Mais il était tout seul. Cette femme n’avait visiblement pas été rassurée ! Les choses se précipitaient, un autre parachute arrivait et il allait atterrir en plein sur la route. Peyo qui venait de se débarrasser de son parachute, se précipita à l’entrée de la ferme. Le parachute était tout près mais il arrivait sur une voiture ! Il reconnut le colonel Fitzgerald et la voiture n’était autre qu’une Kübelwagen allemande ! Elle était occupée par deux personnes, un officier reconnaissable à sa casquette et son chauffeur. Les deux avaient l’air surpris et effrayés par ce parachute qui tombait sur eux, le chauffeur pila. L’officier cherchait à dégainer son pistolet. Peyo n’avait pas le choix, il rafala avec son pistolet mitrailleur Thompson et les deux Allemands s’affaissèrent, tués nets !


Officiers Perdus T2 Rebond en Patagonie Chapitre XI Marche pour Camp N° 1


D’abord il y avait eu la marche. Et quelle marche ! Ils ne savaient pas où ils devaient se rendre, ni à quelle distance cela se trouvait, ils marchaient vers le Nord, c’était tout ce qu’ils savaient.

En premier lieu à Dien Bien Phu, juste après la défaite et la reddition, il y avait été sélectionnés selon les grades, un bloc d’officiers, un bloc de sous-officiers, et un bloc de soldats, ces communistes manquaient d’imagination. À sa surprise, le prêtre Paul Guyot avait été placé dans le bloc des officiers, il ne savait pas pourquoi, mais cela ne lui déplaisait pas.

Et ils marchaient, ils marchaient. Au départ, ils étaient tous en bonne condition physique, et tout allait bien, mais à raison d’une boulette de riz par jour, ils avaient tous maigri et la forme avait disparu et les gros problèmes avaient commencé.

On ne comptait plus les camarades qui s’affaissaient sur la piste, simplement épuisés. Les gardes se jetaient sur eux et les faisaient se relever tout en les injuriant et en leur donnant des coups de crosse, cela avait marché au début, mais très vite les camarades qui tombaient ne se relevaient simplement plus, attendant la mort comme ultime soulagement.

Ils avaient marché des jours, ils ne savaient pas combien, ils avaient marché des kilomètres, ils ne savaient pas combien non plus !

Il y avait des rumeurs, ils allaient peut-être à la vallée de la Rivière Song au Nord du Tonkin, des anciens de Cao Bang en avaient parlée, cela devait être à plusieurs centaines de kilomètres mais combien exactement personne ne savait, et quand on y arriverait, encore moins.

Ils marchaient donc sans but ou plutôt un seul but : survivre ! Comment avaient-ils pu en arriver là ? Jean-Baptiste Mendiburu, Jean de Roche Croix et Paul Guyot marchaient toujours ensemble en compagnons d’infortune. Jean-Baptiste, lui, avait un but au bout de cette marche revoir Peyo Etchegaray leur camarade qu’ils avaient cru mort sur Marianne I. Pourtant rien n’était moins sûr mais Jean-Baptiste y croyait dur comme fer ! Un colonel Vietminh, le colonel Chang lui avait assuré que Peyo était vivant, c’était donc écrit au bout de la marche, ils allaient revoir Peyo. Jean et Paul avaient bien tenté de lui dire qu’il ne fallait surtout pas croire un communiste rien n’y faisait Jean-Baptiste y croyait dur comme fer, ils allaient revoir Peyo ! L’espoir fait vivre ! Celui de revoir Peyo faisait vivre Jean-Baptiste, et c’était contagieux, Paul et Jean marchaient aussi dans l’espoir de revoir Peyo.

Tous les jours des camarades tombaient et ne se relevaient pas. À bout de forces, considérablement amaigris, sans but et sans espoir, ils tombaient et ne pouvaient pas se relever. Et ils étaient épuisés par la dysenterie et les infections, la gangrène et le béribéri, entre autres. Le moindre bobo, surtout aux pieds bien sûr, pouvait devenir fatal dans cet univers insalubre. Et puis, il y avait la pluie et aussi la boue.


Tome 1 : La chute de l’Empire



Quand le Putsch d’Alger éclate le 21 avril 1961 je suis un petit garçon qui n’a pas encore cinq ans, car né en juillet 1956. Je n’ai pas un souvenir très net du putsch en tant que tel, mais mon premier souvenir d’enfance remonte à plus tôt : Ma mère pleurant au téléphone après avoir appris de mon père, qu’il venait de sauter en parachute pour porter secours à son frère d’armes Pierre Z blessé et encerclé. L‘opération avait été un franc succès mais ma mère pleurait quand même ! Moi je ne comprenais pas, je ne le fis que bien plus tard mais je ne voyais qu’une chose : Ma maman pleurait !


Rentrée Scolaire 1961



Qu’est-ce qui m’a pris de dire Prisonnier à Fresnes à l’institutrice qui inscrivait soigneusement nos réponses sur un beau cahier d’écolier car nous ne savions pas encore écrire !

C’est la question qui m’a été posée par ma mère, après avoir reçu la convocation chez la Directrice de l’Ecole ! Pourtant moi j’avais répondu cela très naturellement parce que c’était vrai ! Il m’a alors été assuré que oui c’était vrai mais qu’il ne fallait pas le dire ! Je suggérai alors dire Officier comme on avait toujours dit ! Ah non, Officier on ne peut plus le dire ! Ma grande sœur, Corinne conclut le débat : T'as qu’à dire Militaire en reconversion !

Ma mère n’eut aucun problème avec la Directrice de l’Ecole rassurée d’apprendre que mon père n’était ni meurtrier ni proxénète ! Ces deux compagnons de cellule l’étaient eux, car le Pouvoir avait interdit tout regroupement d’officiers en cellule, prenant sans nul doute un malin plaisir à les mélanger avec des criminels ! Les humilier un maximum telle était la ligne directrice !


Rabbah : mon harki garde du corps



Il s’appelait Rabbah. C’était un Harki. Il était mon garde du corps. Et moi j’avais 5 ans !

Mon père, absent car en prison, avait tenu à faire protéger sa famille contre diverses menaces du SAC notamment ! Le Service d’Action Civique, véritable police parallèle de de Gaulle, était l’auteur de multiples sévices et l’enlèvement d’enfants des officiers de l’OAS était très redouté !

Dès début 1961, il était clair que le sort des harkis allait être terrible et leur vie même menacée ! Mon père très attaché à ses harkis ne pouvait pas les sauver tous. Mais il avait convaincu un camarade officier de l’armée de l’Air, d’en embarquer trois, en passagers clandestins, dans un avion, militaire donc, qu’il convoyait vers le Sud-Ouest de la France !

Rabbah, Mohamed, et Saïd étaient donc disponibles à Bordeaux où nous avions élu domicile mes grands-parents maternels y habitant. Saïd, qui était également cuisinier, assurait la protection de ma mère, Mohamed de mes deux sœurs, et Rabbah était mon garde du corps.

Rabbah était grand, il était beau, Edith Piaf aurait sûrement rajouté qu’il sentait bon le sable chaud !

Le matin il m’emmenait à l’école, portant sous blouson le poignard des parachutistes, invisible donc mais moi je savais !

Une fois la classe rentrée dans la salle, il restait devant la porte fermée en interdisant l’accès à quiconque ! Et ce rituel recommençait tous les jours ! Le soir on montait et démontait un fusil mitrailleur qui prenant le couloir d’entrée en enfilade le rendait inaccessible à tout intrus !

Deux ans plus tard, mon père ayant retrouvé alors la liberté pour bonne conduite, même en prison un officier reste un officier, le jeune pouvoir Algérien avait commencé à leur chanter le chant des sirènes sur le thème : « Harkis rentrez chez vous car tout est pardonné. L’Armée Algérienne a besoin de soldats comme vous, vous y serez intégrés et même promus au grade supérieur ! »

Mon père et ma mère ont eu beau leur dire de se méfier, et d’autres harkis dirent la même chose, que c’était un piège qu’il ne fallait pas y aller… Saïd, Rabbah et Mohammed ont voulu tenter leur chance et rentrer en Algérie. Leur histoire s’est terminée brutalement et tragiquement avec le sourire Kabyle : Egorgés dans un sous-sol de l’Aéroport d’Alger !

Mes parents ont essayé de nous cacher la vérité sur ce drame. Mais, un jour recevant des amis, ils se sont coupés, et, alors j’ai compris et fus glacé d’horreur. Puis ce furent les larmes.

Il s’appelait Rabbah. C’était un Harki. Il était mon idole. Et moi j’avais 7 ans !


Aïtaxi (grand-père basque)





Aïtaxi Colonel, 2éme Spahi, Marrakech


J’adorais mon grand-père qui me le rendait bien. La scène se passe à la fin de l’été à Guéthary joli village de la côte basque. La maison typique du Pays Basque, volets et tuiles rouges sur le toit avait une vue imprenable sur l’Atlantique et ses gigantesques vagues, avec un mélange de senteurs marines et florales, ces dernières venant d’un jardin à l’anglaise.

  • Mon petit Gilles il va falloir que tu me fasses une promesse !

  • Laquelle Aïtaxi ?

  • Ton service militaire : tu feras Saumur pour devenir Officier de Cavalerie !

  • Mais Aïtaxi, je peux te promettre d’essayer mais pas de réussir !

  • Ah, engagement d’effort, mais pas de résultat ! Ecoute tu as réussi une école civile d‘ingénieur, alors tu seras capable de faire une école militaire d’officiers non ?

  • Sur le papier, oui, mais c’est quand même très différent !

  • DE toutes façons il faut que tu me la fasses car c’est sûrement la dernière fois qu’on se voit, du moins dans ce monde !

  • Mais Aïtaxi je reviens à Noël !

  • A Noël c’est moi qui ne serai plus là ! Alors tu promets ?

  • Oui Aïtaxi, j’irai à Saumur et serai Officier de Cavalerie !


Service Militaire



À une époque où tous mes camarades ne cherchent qu’à se faire réformer, je vais refuser toutes les propositions mirifiques de mon école, en Coopération ou dans les Ambassades pour choisir dans l’incompréhension générale, mais pour respecter la parole donnée à Aïtaxi, la voie de la PMS (Préparation Militaire Supérieure), la PMP (Préparation Militaire Parachutiste) puis l’Ecole d’Officiers de la Cavalerie de Saumur et le 13 éme RDP (Régiment de Dragons Parachutistes). Les Dragons de l‘Impératrice depuis que l’Empereur les eut affectés à la garde de son épouse !

Un parcours beaucoup plus difficile que la Coopération ou les Ambassades mais ce parcours beaucoup plus dur à tous niveaux, physiquement et psychologiquement, je ne le regretterai jamais ! Quand mon grand-père me disait qu’on ne devenait un homme qu’après avoir fait l’armée, j’avais du mal à le croire ! Et j’ai fini par l’admettre trop tard pour lui dire hélas car il avait disparu entretemps !

De mon temps dans l’armée je n’ai que des bons souvenirs surtout humains d’Officiers de Sous-Officiers ou de soldats et c’est peut-être dans l’Armée où j’ai le plus appris notamment sur le management qu’ils appellent le commandement !


L’honneur d’un capitaine



En 1982, peu de temps après mon retour dans le civil, sort un film de Pierre Schoendoerffer : « L’honneur d’un Capitaine », où Nicole Garcia s’emploie à laver l’honneur de son mari injustement sali par les media même après sa mort. Ce jour-là, je me suis juré qu’un jour je laverai l’honneur de mon père incarcéré comme un criminel après le putsch d’Alger ! La Genèse d’Officiers Perdus se trouve donc là en 1982 il y a 40 ans suite au film « L’Honneur d’un Capitaine. » Et il ne s’agit pas seulement de l’honneur de mon père ! L’honneur de tous ses Frères d’Armes, l’honneur des Harkis, l’honneur des Pieds Noirs !

Il y en aura fallu du temps !


On peut donc résumer la Genèse d’Officiers perdus par ces dates :

  • Avril 1961 : Putsch d’Alger ;

  • Rentrée scolaire 1961 : Papa en prison à Fresnes ;

  • Rabbah : mon harki garde du corps 1961-1963 ;

  • Promesse à Aïtaxi (grand-père basque) 1978 ;

  • Service Militaire 1979-19881 ;

  • L’honneur d’un capitaine 1982 ;

  • Officiers Perdus Décembre 2021.


J’ai souffert du drame de l’Algérie Française ! Peut-être moins que beaucoup d’autres ! C'est pour cela que j’ai écrit ce livre ; Je sentais que la blessure de la Guerre d’Algérie n’était pas cicatrisée. Le succès de mon livre le démontre mais je suis surpris par l’ampleur de cette blessure qui est vivace dans les trois publics évidents : les militaires, les pieds noirs et les harkis. Mais pas seulement car des millions de français sont concernés pour avoir un parent proche ou même par alliance dans un des trois publics, militaire, pied noir ou harki. Chez tout le monde, c’est un sentiment d’une terrible injustice ! Une injustice non seulement jamais réparée, mais même pire, toujours niée ! Mon livre a le mérite au moins de révéler ce drame toujours dédit !


Tome 2 : Rebond en Patagonie


Le tome 2 avant le lancement du tome 1


Sans surprise le premier se terminant juste après le putsch d’Alger, il s’agissait d’écrire l’histoire de ces valeureux officiers français après !

Revivez les terribles épreuves de ces officiers qui se sont battus pour l’Algérie Française, condamnés à mort par contumace ou emprisonnés à Tulle ou à Fresnes !

Qu’auriez-vous préféré ? La contrainte de l’exil loin de tout et l’obligation de recommencer à zéro ? Ou bien l’enfermement et la nécessité de se construire une vie intérieure ? Comment ces brillants officiers s’en sont-ils sortis quand après avoir été au plus haut et connu tous les honneurs, ils se sont retrouvés au plus bas marqués par l’infamie au point de regretter d’être encore en vie ?


Le tome 2 après le lancement du tome 1



Si l’objectif essentiel n’a pas vraiment changé, de nombreux commentaires de lecteurs et plus particulièrement de lectrices ont retenu mon attention : « Pourquoi ne pas avoir donné plus d’importance à Souen et au développement de son amour pour Jean ? »

Souen un personnage très attachant, effectivement, vous la trouverez dans le tome 2 avec un rôle encore plus grand même si je pense que le sien était déjà très fort dans le premier tome !

D’autres lecteurs et très nombreux aussi réclamaient Jean-Baptiste Mendiburu, Peyo Etchegaray et le Père Guyot devenu Cardinal Guyot ! Leurs vœux sont exaucés !

Mais, pour continuer l’aventure, vous découvrirez aussi :

- Juan de Roca Cruz, cousin de Jean, Grand d’Espagne, propriétaire terrien, joueur de polo

- Valentina de Roca Cruz, Argentine, très belle épouse de Juan qui se consacre aux orphelins tehuelche

- Consuelo Excepcion, une sublime chanteuse de cabaret, diva divine, bomba Latina … elle vous surprendra !

- Sergio de Roca Cruz, un cousin de Juan vivant en Patagonie exploitant le haras Pégase… il vous rappellera quelqu’un !

-Bertrand Marbousset qui saute sur Ste Mère l’Elise dans la nuit du 5 au 6 Juin 1944 avec Peyo Etchegaray

- Les enfants Diego, Magdalena, Stéphanie T., le prêtre Imanol, l’entrepreneur Miguel de Salaberry, et Kurt Klaus, un frère d’armes… allemand ! Et d’autres encore…

Bâtissez un haras de criollos, construisez un orphelinat, gagnez des matches de Polo, avec un retour en arrière en juin 1944 en Normandie ainsi que dans le camp N°1 du Vietminh en 1954 après Dien Bien Phu, et vivez bien d’autres choses…



Sans oublier la Patagonie véritable héroïne du roman, Patrie de Rechange, chère à Jean Raspail, aux paysages sublimes Pampa et Cordillère des Andes sans oublier le magnifique Perito Moreno !



Comment éviter de vous parler de la Princesse Napoléon, marraine du 13ème Dragon Parachutiste, qui avec Souen était une héroïne du Tome 1. Au téléphone, la Princesse Alix, qui préfère que je l’appelle Marraine, m’a confié qu’elle avait adoré le Tome 1 qu’elle recommande à tout le monde ! Plus encore, elle a beaucoup aimé son rôle dans le roman et particulièrement son saut en parachute avec Souen qu’elle aurait rêvé de faire réellement ! Elle a ajouté qu’elle était d’accord pour participer à la promotion d’Officers Perdus afin de participer à son succès ! Le tome 2 lui est donc dédié ! Merci Marraine !

Pour terminer, on peut dire que si dans le tome 1, la Chute de l’Empire, on a bien vu le concept :

Mieux vaut perdre la vie, que l’honneur !

Le tome 2, Rebond en Patagonie, vous rajoutera un principe essentiel :


Ne jamais perdre espoir, ne jamais renoncer !


Autre article qui pourrait vous plaire : Jean de Roche Croix


Vous souhaitez vous aussi faire un saut avec les Officiers Perdus ? Commandez les tomes !






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